
Dans moins de 15 jours, l’entreprise Vencorex pourrait fermer ses portes. Avec elle, c’est l’avenir de 2 plates-formes chimiques françaises qui est menacé et tout le secteur industriel français qui est fragilisé.
C’est pourquoi, le 18 février 2025, j’ai déposé une proposition de loi visant la nationalisation temporaire de l’entreprise Vencorex. Cette proposition de loi a trouvé un large soutien au sein de l’Assemblée nationale. 100 député·es issu·es de divers groupes parlementaires en sont signataires, dont la députée iséroise Marie-Noëlle Battistel, la présidente de la commission des affaires économiques Aurélie Trouvé et la députée de la Drôme Marie Pochon.
Le maintien des activités de Vencorex constitue une urgence vitale pour répondre aux besoins de souveraineté industrielle, de sauvegarde de l’emploi (5500 emplois directs et indirects sont en jeu !) et de préservation des compétences sur le bassin de la chimie de Jarrie et de Pont-de-Claix.
Aujourd’hui, j’ai besoin de vous pour recueillir les signatures supplémentaires de 10 députés de la majorité présidentielle et du groupe Les Républicains, pour proposer ma proposition de loi à l’ordre du jour des débats de l’Assemblée nationale. La liquidation judiciaire de Vencorex pourrait être prononcée le 6 mars 2025 par le tribunal de commerce. Il faut faire vite !
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Ma réaction au refus du Premier ministre François Bayrou de nationaliser temporairement Vencorex et mon appel aux députés LR et EPR à co-signer ma proposition de loi.